Sagine, je t’adresse mes plus vifs remerciements. Tu es loin de mesurer toute la portée du plaisir que tu peux m’apporter pour bien d’autres raisons encore que celles que tu connais.
Je lis actuellement
LE GOÛT DES MOTS »
de FRANÇOISE LHÉRITIER
et elle évoque justement ceci:
« je ne peux m’empêcher d’associer ce goût pour les mots au goût pour les boîtes qui me possède aussi depuis l’enfance et de tous les tiroirs remplis de ces choses délicieuses pour l’esprit que sont la mercerie et la passementerie, les boutons, fusettes, bobines, rubans, boutons-pression, gros-grains, extraforts, fils, laines, cotons mercerisés, dentelles, doublures, aiguilles, épingles de nourrice… »
Elle continue d’ailleurs avec la petite quincaillerie.
Je me sens très proche des sensations de cette grande dame avec mon texte écrit il y a de nombreuses années déjà, exhumé d’ un fond de tiroir.Lecteurs,vous m’avez prouvé que vous aussi êtes sur le même registre, dans mon billet précédent.