Le verdier, lui préfère se percher sur la mère des milliers et s’y balancer.La photo n’est pas très bonne car prise derrière la vitre,et à contre-jour comme souvent; elle est caractéristique de son rituel d’arrivée sous la véranda.
Le verdier est devenu plus farouche: a-t-il rencontré quelque prédateur dans les parages ou bien tout simplement a-t-il en grandissant développé quelques instincts de survie normaux? Peut-être l’ai-je surpris en sortant un peu vite de ma cuisine.
Pour le photographier, même derrière la vitre, il faut se fondre dans le décor; il détecte le moindre geste.
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caché derrière l’asparagus, il s’apprête à s’envoler après avoir décortiqué quelques graines de tournesol.Il ouvre la coque en 2 et voilà. Au début il était très organisé: les déchets d’un côté, les graines fermées de l’autre, mais avec le temps, il est devenu moins attentionné ou plus conscient qu’il faut faire vite.
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Ici,dans le prunus, en sécurité, il peut pousser son cri caractéristique, qui ressemble à un sifflement étouffé. parfois nous l’imitons et nous avons l’illusion qu’il nous répond.
Depuis quelques jours nous ne le voyons plus, même si nous l’entendons parfois.Il est probable que nous sommes à nouveau en période de couvaison.
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Cette photo a été « volée » au merle alors qu’il s’était introduit dans un buis en pot taillé en boule. Nous avons compris ce qu’il y cherchait quand nous avons aperçu dans son bec un escargot.
Et détail insolite et fortuit de la photo car le merle lui aussi ne s’éternise plus, sans doute pour les raisons évoquées plus haut, j’intitule cette photo:
LE BAISER AU COQUELICOT.
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Photos Maïté L
Je précise pour les visiteurs du blog qui aimaient parfois emprunter des photos que cela est toujours possible sur demande mais qu’en raison des abus, notamment de certains journalistes ou de la prolifération des photos livrées au pillage du net, j’ai dû mettre -un peu-, le hola, avec l’aide de Sergio. ceci ne concerne en rien mes amis.
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